Tour de Villechat
Sur la colline en face du hameau de La Chaume, de l’autre côté de la route D25, on trouve le site de l’ancienne tour de Villechat dont il ne reste qu’un souterrain. Sous ce terrain se trouvent d’anciennes carrières de craie, qui ont pu servir de champignonnières et d’abri pendant la seconde guerre mondiale.
Croyances populaires
Ces croyances populaires s'attachaient essentiellement aux arbres et aux mégalithes. Citons : la Roche au Diable (Les Bordes), la Pierre au Diable (Pont-sur-Vanne), la Pierre aux Sorciers, et la Borne du Sabbat (Vaumort), les affrontements entre Lucifer et le Bon Dieu à la Roche au Pas-Dieu de Sognes, (Perceneige) ainsi que la Roche du Sabbat (Theil-sur-Vanne) et la Pierre des Sorciers (Vaumort).
En outre, certains villages avaient une réputation de sorcellerie (Chéu) quand les habitants n'étaient pas affublés du sobriquet de sorciers. C'était le cas à Vaumort et aussi au hameau de La Chaume (Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes) dont les habitants, selon l'abbé Boudard, se rendaient nuitamment dans les souterrains de la Tour de Villechat pour pratiquer leurs réunions du Sabbat.
Jusqu'au début du XX e siècle, un peu partout en France, le diable était invoqué par les déshérités de l'existence comme un ultime recours à leur misérable condition.
Croyances populaires
Ces croyances populaires s'attachaient essentiellement aux arbres et aux mégalithes. Citons : la Roche au Diable (Les Bordes), la Pierre au Diable (Pont-sur-Vanne), la Pierre aux Sorciers, et la Borne du Sabbat (Vaumort), les affrontements entre Lucifer et le Bon Dieu à la Roche au Pas-Dieu de Sognes, (Perceneige) ainsi que la Roche du Sabbat (Theil-sur-Vanne) et la Pierre des Sorciers (Vaumort).
En outre, certains villages avaient une réputation de sorcellerie (Chéu) quand les habitants n'étaient pas affublés du sobriquet de sorciers. C'était le cas à Vaumort et aussi au hameau de La Chaume (Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes) dont les habitants, selon l'abbé Boudard, se rendaient nuitamment dans les souterrains de la Tour de Villechat pour pratiquer leurs réunions du Sabbat.
Jusqu'au début du XX e siècle, un peu partout en France, le diable était invoqué par les déshérités de l'existence comme un ultime recours à leur misérable condition.